C’est l’heure de l’apéro, non ?
En famille ou entre amis, à tous les âges et dans tous les milieux, personne ne résiste à l’apéritif. Un succès renforcé par le couvre-feu, qui suscite l’appétit des industriels, l’inquiétude des nutritionnistes… et le bien-être chez tous les autres.
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« C’est l’heure de l’apéro, non ? » La phrase sonne comme la cloche de la récré. Tout le monde est pour. Au pire, un timide « heuu, c’est un peu tôt ? » vient rappeler que le couvre-feu a été supprimé le 20 juin dernier. Alors on attend au moins 18 heures pour commencer à déballer ou commander boissons et amuse-bouche. Au fait, qui est « on » ? Eh bien tout le monde ! En 2005, 90 % des Français déclaraient le prendre au moins une fois par semaine (1). Sa fonction aussi faisait consensus. Pour 95 % de nos concitoyens, l’apéritif était avant tout un « moment de convivialité », et pour 90 % « de plaisir et de partage ».
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Quinze ans, trois confinements et un couvre-feu plus tard, l’enthousiasme des Français pour ce rituel n’a pas faibli. Un coup d’œil suffit à s’en convaincre : dès 17 heures, les quais, places et jardins publics sont envahis de gens de tous âges, venus picorer – et surtout boire un coup. Quant aux terrasses, elles ne désemplissent pas. A la maison, aussi, en famille ou entre amis, on trinque tout autant. L’apéritif est, plus que jamais, la tendan…
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